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Description
écran total sur les pores de ma peau
écran total sur nos remords
que dire sinon s'enduire
de tous les crimes
j'ai vu le ciel tourner au violet
et les filles se faire aimer
la mort dans l'âme
c'est la chaleur humaine
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes nerfs
à la tyrannie du jour
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes airs
à tous les luminaires
à l'endroit à l'envers
à la chaleur humaine
mes amours je les ai sur le bout de la langue
elles me reviennent à chaque frontière
langues mortes
langues de vipères
langues familières
la fermer, se taire
l'ouvrir
ça va sans dire
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes nerfs
désormais je me dore
à l'endroit à l'envers
à la chaleur humaine
un missile a élu domicile
à l'hôtel de l'oiseau-lyre
que dire de ces ouï-dire
c'est la chaleur humaine
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes nerfs
à la poussière des météores
à la chaleur humaine
désormais je me dore
à la crypte des monastères
je me dore à l'ordinaire
à tombeau ouvert
à la chaleur humaine
Dans L'imprudence, d'Alain Bashung [link]
.This is a photograph I took 2 years ago. I found it again and thought that I liked it a lot, actually, though it is nothing special.
.The deserter is also in the title of a song by the Kills. It's Rachid in Nedjma. And it's the subject of an article in Sarah's blog I read this morning.
.
"Je me tue à te dire qu'on n'va pas mourir..."
écran total sur nos remords
que dire sinon s'enduire
de tous les crimes
j'ai vu le ciel tourner au violet
et les filles se faire aimer
la mort dans l'âme
c'est la chaleur humaine
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes nerfs
à la tyrannie du jour
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes airs
à tous les luminaires
à l'endroit à l'envers
à la chaleur humaine
mes amours je les ai sur le bout de la langue
elles me reviennent à chaque frontière
langues mortes
langues de vipères
langues familières
la fermer, se taire
l'ouvrir
ça va sans dire
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes nerfs
désormais je me dore
à l'endroit à l'envers
à la chaleur humaine
un missile a élu domicile
à l'hôtel de l'oiseau-lyre
que dire de ces ouï-dire
c'est la chaleur humaine
désormais je me dore
à tes rires
je me dore à tes nerfs
à la poussière des météores
à la chaleur humaine
désormais je me dore
à la crypte des monastères
je me dore à l'ordinaire
à tombeau ouvert
à la chaleur humaine
Dans L'imprudence, d'Alain Bashung [link]
.This is a photograph I took 2 years ago. I found it again and thought that I liked it a lot, actually, though it is nothing special.
.The deserter is also in the title of a song by the Kills. It's Rachid in Nedjma. And it's the subject of an article in Sarah's blog I read this morning.
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"Je me tue à te dire qu'on n'va pas mourir..."
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J'aime de plus en plus ce que tu fais. *cheers*